Attention, il ne faudrait pas confondre : il est normal qu’une terre mouillée, trop rapidement séchée sur un poêle, fende à cause de la présence d’eau ; (l’eau restera toujours le principal ennemi d’une voute en terre).Après séchage sur le poêle, certains des essais d’hier se sont fendus. Celui qui semble avoir le mieux résisté et le bloc réalisé avec 1 volume d’argile pour 1 volume de sable, ce sera donc cette proportion que j’utiliserai.
Ce qui nous intéresse, ce n’est pas le comportement de la terre mouillée en présence de chaleur.
Comme souvent sur ce type de blog, on ne connait pas la fin de l’histoire (ou alors je n’ai pas su la trouver). C’est le l’argile pure qui est utilisée.
Je rappelle que je n’ai pas d’expérience sur le montage d’une voute en terre :
La chaux ça me semble possible ;
Les joints de dilatation en papier journal, c’est peut-être une bonne idée (des voussoirs un peu comme le Panyol), pour laisser vivre les dilatations du four).
Les couches suivantes assureraient alors l’étanchéité (une fois la voute dérhumée, on fait dilater les suivantes jusqu’à ce qu’aucune fissure apparaisse …